The Martyrdom of Julian Assange
By Chris Hedges*
The arrest Thursday of Julian Assange eviscerates all pretense of the rule of law and the rights of a free press. The illegalities, embraced by the Ecuadorian, British and U.S. governments, in the seizure of Assange are ominous. They presage a world where the internal workings, abuses, corruption, lies and crimes, especially war crimes, carried out by corporate states and the global ruling elite will be masked from the public. They presage a world where those with the courage and integrity to expose the misuse of power will be hunted down, tortured, subjected to sham trials and given lifetime prison terms in solitary confinement. They presage an Orwellian dystopia where news is replaced with propaganda, trivia and entertainment. The arrest of Assange, I fear, marks the official beginning of the corporate totalitarianism that will define our lives.


Starting on 7 April 1994, in less than three months, nearly one million Rwandans – the exact figure has not yet been determined - were exterminated because they were (or supposed to be) Tutsis. Tens of thousands of moderate Hutus were also slaughtered. This was indeed a genocide, that is, the deliberate destruction of an entire community through mass murder in the aim of preventing their biological and social reproduction.
There is no doubt that Donald Trump’s policies, those of the Lima group [
Nous soussignés associations, partis, syndicats, indépendants, sommes toutes et tous activement impliqués dans la lutte contre le racisme sous toutes ses formes. La lutte contre l’antisémitisme fait partie à part entière de notre combat antiraciste. Nous condamnons fermement les actes antisémites, qui surgissent dans un contexte social et politique particuliers.
Nous, Gilets Jaunes des ronds-points, des parkings, des places, des assemblées, des manifs, nous sommes réunis ces 26 et 27 janvier 2019 en « Assemblée des assemblées », réunissant une centaine de délégations, répondant à l’appel des Gilets Jaunes de Commercy (
Año nuevo con las viejas excepciones de siempre, la agenda política catalana arrancará en breve, a la sombra prevista de un 22 de enero marcado en rojo en el calendario y bajo los compases del mayor juicio político revivido en Catalunya desde las postrimerías franquistas.
In recent years, the reactionary, authoritarian and/or fascist extreme right wing has been in the ascendant all over the world: it already governs half of the world’s countries. Among the best-known examples are: Trump (United States), Modi (India), Orbán (Hungary), Erdoğan (Turkey), Daesh (Islamic State), Salvini (Italy), Duterte (Philippines), and now Bolsonaro (Brazil). But in several other countries we have governments close to this trend, even if they do not have such an explicit definition: Russia (Putin), Israel (Netanyahu), Japan (Shinzō Abe), Austria, Poland, Burma, Colombia and so on. In fact, the distinction between these two groups is completely relative.

Ces derniers jours, le pouvoir avait cherché à faire monter chez touTEs un sentiment de panique, parlant de « volonté de tuer », par crainte d’avoir à affronter aujourd’hui une nouvelle journée de forte mobilisation. Il avait même interdit certaines manifestations, comme la marche pour la justice climatique de Rouen. Peine perdue, malgré une répression que l’on a jamais connue, le mouvement des gilets jaunes a pour cette quatrième journée traversé une nouvelle fois tout le pays.

Certains estiment que lorsqu’on engage un mouvement contre une taxe (instrument censé être redistributif, en théorie du moins) plutôt que pour l’augmentation des salaires (au sens large, sécurité sociale comprise), on se retrouve dans un mouvement de droite. La réalité est bien différente : bien des mouvements révolutionnaires ont éclaté parce que le poids d’impôts considérés comme injustes était devenu insupportable pour la majorité du peuple.
Édouard Philippe tente d’éteindre le feu que le gouvernement a lui-même allumé. En annonçant ce matin la suspension pendant six mois d’une hausse de la taxe sur le carburant, il signifie qu’il va revenir à la charge dans six mois, car suspension ne veut pas dire renoncement. Ces mesures sont loin de répondre à la colère des classes populaires ni à leurs revendications contre la vie chère et l’injustice fiscale, car la contestation est bien plus globale, comme le montre le mot d’ordre de « Macron démission ! » largement repris dans le mouvement. Ce pouvoir est illégitime et il ne s'en sortira pas avec quelques mesures très limitées et temporaires...
Des dizaines, peut-être des centaines de milliers de personnes, ont manifesté aujourd’hui dans toute la France contre la vie chère et contre le gouvernement, notamment aux cris de « Macron démission ! ».